Vendredi 7 janvier 5 07 /01 /Jan 17:27

EN CES PREMIERS JOURS 2011

NUL ENVIE D'ETRE UN BONZE

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

alors féminisés

désirés

voici des voeux

d'amour

sensuel

365 jours

avec elle

et lui

chaque jour

chaque nuit

.......................

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Jeudi 28 octobre 4 28 /10 /Oct 15:31

Ses mains moites et d'une douceur impensable s'emparèrent de ma verge gonflée à en avoir mal. De longues caresses allant jusque dans mes fesses écartées, dans cet interstice trop sensible, me firent râler de désir. Sans relâcher cette étreinte manuelle, son corps glissa sous le mien abandonné et je sentis ses lèvres parcourir tout mon appareil avant de se saisir du phallus en une puissante sucion. Et elle me retourna promptement pour se retrouver entre mes cuisses. J'agrippais le drap tant ses mouvements bucaux et manuels du ventre au phallus me faisaient entrer en transe. Elle sut ne pas prolonger car, elle me le chuchota "I want you all with me"...je compris alors que la tempête était à l'horizon. Ses doigts toujours jouant sur tout mon appareil, elle se redressa puis écarta les cuisses pour guider d'une main ferme l'engin au plus profond de sa caverne ruisselante. Je voyais ses seins se balancer au-dessus de moi au rythme de ses ondulations sur mon ventre avant d'entamer un mouvement d'ascenseur très lent. Je saisis ses fesses. De ses longs doigts elle pinça mes tétons. Et l'ascenseur continuait sa course si lente de va-et-vient incandescent. De ses lèvres ouvertes s'échappait des gémissements qui rejoignaient mes soupirs. Nous étions unis et la tempête se déchaîna. Elle accéléra ses mouvements, roulant, tanguant, gémissant de toutes ses voilures, bateau ivre sur mes vagues impétueuses. Et nous roulâmes l'une sur l'autre puis l'un sur l'autre. Enlacés, collés, pénétrés. Un éclair fulgurant me frappa quand je ne pus retenir le trorrent de mon plaisir. Emlle poussa un long, puissant, unique cri. Contractés, tendus, en un ultime ressac. Elle coula. Et sans attendre je me précipitais entre ses cuisses pour m'abreuver de ce nectar doux-amère, source unique venue de ses chairs enflammées. Volcan joyeux !

 

Il était déjà 5h du matin.

Lovés au son du roulis de la petite houle. Douceur infinie.

Assoupis...et déjà réveillés.

Je m'envole dans quatre heures.

Nuit unique !

 

Une dernière fois de longs baisers, encore des caresses, et....oui encore une fois.....

 

L'avion effectue un grand demi-cercle dans le ciel rose bleuté. J'entrevois le palace au flanc de rochers surplombant la Mer. Je ne peux me retenir de bander en pensant à Katerina qui finit sa toilette.

Promesses d'e-mail, de sms, de téléphone, de lettres,...promesses que nous savons incertaines.

Au-revoir Crimée. J'ai décollé !

 

 

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Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 08:22

Enveloppés dans les peignoirs de bain d'un bleu rehaussé de fil d'or, enlacés, nous prîmes possession du lit-paquebot sans relâcher notre étreinte. Jambes entrelacées, langues joueuses érotiques, nous roulions l'un sur l'autre en une sorte de danse sensuelle. Puis elle s'allongea. Et mes mains parcourèrent son corps offert en toute indécence. Ses seins si fermes, si tendus de plaisir, m'attiraient irrésistiblement. Une main sur sa vulve, je me mis à baiser ses mamelons parfumés. Etiran,t, suçant, ses bouts érigés d'un brun rougeoyant au centre de larges aréoles très pâles. "oh Yes" gémit-elle et alors, je caressais alternativement ces globes. Les rapprochant, les excitant de plus en plus. Palpations, pétrissage. Elle ondulait, gémissait, jambes relevées autour de ma taille. Je m'agenouillais au-dessus d'elle, verge à nouveau dressée. Mes maoins pétrissaient sans arrêt ses seins. Elle râlait à nouveau. Mes mains accéléraient leur mouvement. Ma langue léchant ses bouts. Ma verge frottant sa vulve. Et elle poussa un cri. Elle jouissait de ses seins affolés. Ma verge dressée, dure, enflée, allait entrer dans son vagin béant, ruisselant de sa cyprine. Mais elle s'en saisit, me retourna sur le dos et elle entreprit de me caresser très doucement de ses doigts fuselés.

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Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 18:25

Le dîner avait lieu dans la grande salle d'or et de marbre d'un grand restaurant au bord de la mer Noire. Après l'apréitif sur la terrasse, nous avions dégusté des mets absoluments délicieux et...très sensuels, accompagnés de vins de Crimée chatoyants et chaleureux. Le caviar gris, le brochet, les émincés de veau, les méli-mélos de légumesépicés et d'oignons rouges, la grande assiette de desserts, les fruits ...tout cela, Katerina le dégusta avec une gourmandise non dissimulée. Souvent nos regards se croisaient et elle prit un malin plaisir à ravir entre ses lèvres les mets aux mille saveurs. Je lui souriais en complicité, tout en suivant (tant bien que mal) la conversation avec ma voisine épouse du président et mon autre voisine soeur du Premier minsitre qui me faisait face pour une discussion en un anglais approximatif.

 

A la fin du dîner, parès tous les salamalecs obligatoires, nous nous engouffrâmes dans la voiture qui nous ramena pas assez vite à notre palace ! Nos mains mais aussi nos jambes étaient entrelacées. Je bandais comme un mulet ivre de piments et de miel. Katerina se frottait lentement et fermement. Je devinais son émoi de désirs retenus.

 

Lorsque nous quittâmes l'ascenseur, la question du choix de la chambre fut inutile ! J'ouvris la porte. La repoussa du pied. Et enfin, oui enfin, nos corps, nos lèvres s e rejoignirent avec une fougue égale à notre attente. Enlacés, nous traversâmes le salon illuminé du pâle éclat argenté de la pleine lune...moonlinght...so sweet...la chambre, rideaux grands ouverts au-dessus de la Mer Noire, me parut encore plus immense avec ce lit-paquebot !

 

Nos mains n'en finissaient pas de découvrir nos corps respectifs. Puis elle se détacha de moi, me sourit et fit glisser sa robe au sol. Elle ne portait aucun sous-vêtement ! Eblouissement ! Elle vint contre moi...et se saisit des boutons de ma chemise qu'elle m'ôta sans difficluté avant de défaire ma ceinture et de faire glisser mon pantalon au sol.

 

Je parcourais son visage, sa nuque, ses cheveux, de mille baisers. Nus. La salle de bain au marbre veiné de gris, douche et baignoire d'émail bleu, nous accueillit...elle ouvrit la douche et m'entraîna sous la chaleur du jet puissant. Nos corps glissaient l'un sur l'autre. Nos langues se fouillaient de toute leur vigueur. Je caressais son dos, ses reins, ses fesses puis lentement je passais une main sous son entre jambes pour caresser son minou inondé. Elle écarta les jambes, me prit le visage pour m'amener sur ses seins pointés de désir insensé. Ma bouche saisit tour à tour, en une sorte de balade frénétique, ses bouts érigés durs et longs, tandis que ma main s'insinuait lentement sur sa vulve pour une longue caresse qui devint pénétrante. Elle gémit, rejeta sa tête en arrière, pressa mes lèvres sur ses seins. Et s'empala liéttéralement sur mes doigts. Je la fouillais de bonne grâce. Lentement puis plus vite. Je frottais ses parois. Elle gémissait. Je la sentis se cripser. Son ventre devint une vague incessante. Un cri rauqe, impensable, subit, long cri de plaisir venu du fond de ses entrailles. Et d'une main elle saisit ma verge dressée comme un mât en pleine tempête, le branla un peu et l'entra à la place de mes doigts.

 

Immédiatement je me sentis envahi d'un immmense désir. Bandé à en crier. Elle caressait mes petites boules, excitait mon périnné, s'égarait dans mon petit trou. Je n'en pouvais plus. Elle allait et venait, montait et descendait le mât. Mes reins me brulaient. Je râlais. L'eau chaude ruisselait sur notre union. Et elle se mit à me caresser la base de la verge tout en enfonçant son doigt en moi. Je retenais mon plaisir car je voulais qu'elle aussi ressente la jouissance. Alors, je me mis à exciter son clitoris gonflé sous mes doigts. Elle gémissait de plus en plus. Nous râlions ensemble. Unis comme jamais. Elle se contracta. Ses muscles enserraient mon engin. Et elle poussa à nouveau un cri venu du fond des âges et je sentis mon jus jaillir en elle. Love. LOve. LOVE.

 

(à suivre)

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Lundi 25 octobre 1 25 /10 /Oct 19:01

Il était près de midi et je devais prononcer ma conférence à 15h...donc je proposais à katerina de nous retrouver dans le lobby pour un déjeuner rapide mais obligatoire avec le Président du Congrès; Elle accepta de m'accompagner en me serrant fort le bras...nos lèvres frémissaient mais.....je me contentais de lui serrer aussi le bras et de de lui déposer un baiser aussi furtif que léger sur ses joues rosées.

 

Le déjeuner fut comme tous ces déjeuners internationaux, à la fois chaleureux, compassés, convenus, légers et pièges à observation. J'étais donc en alerte tout en prenant plaisir à regarder Katerina qui avait changé de haut. Elle avait enfilé une sorte de T-shirt blanc satiné largement échancré et bordé d'une fourrure acrylique rouge, assortie à sa jupe. Elle avait également enfilé des collants blancs satiné. Grâce à ce T-shirt je pus enfin voir ses seins libres de tout soutien sous ce T-shirt si près du corps. En alerte mais aussi en désir !!!

 

Elle était très à l'aise et ravie de discuter avec ses voisins. Pa trop éloignés, nous pouvions échanger des regards...complices !

 

A la fin du déjeuner, je dus faire face à mes obligations professionnelles.

Après avoir prononcé ma conférence, j'eus à répondre aux multiples questions puis ce fut le discours du Premier et enfin le cocktail dînatoire. Auparavant nous avions rejoint nos chambres pour nous changer en vue d ela soirée.

 

Nous nous étions ànouveau donné rendez-vous dans le lobby. Ma voiture nous attendant pour aller au "castle".

Elle sortit d el'ascenseur et je fus à la fois ébloui et excité ! Avec son manteau de laine multicolore sur le bras, elle semblait ue fée ! Vêtue d'une robe noire au décolleté vertigineux  très près du corps, très courte, bas chair, escarpins vernis noir, le tout rehaussé par un collier or et émearude. Cheveux défaits, aux boucles ondoyantes, couvrant le haut du dos. Je m'avançais vers elle et lui baisais la main, mais vraiment ! lèvres posées...Elle rit "Ah!Ber, you are so delicious !" et elle me déposé un petit baiser tout humide de sa pointe d elangue sur la joue. Malicieuse, coquine et délicate !

 

Dans la voiture, nos mains s'unirent tout naturellement. Serrés l'un contre l'autre. Sans rien d eplus. Sans un mot. Seuls nos regards dans la pénombre de la nuit à pleine lune...

 

(à suivre)

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